D’un côté la beauté
De l’autre la bêtise
Et toi les bras ballants
Bataillant dans le vide
D’un côté la beauté
Le charme t’hypnotise
De l’autre la bêtise
La mouton va bêlant
À quoi te raccrocher ?
Le précipice avide
Happe ton moindre geste
Ta chute est sans répit
Tes cris restent inaudibles
La beauté la bêtise
Sont sourdes à tes appels
—
C’est presque trop mignon
D’en faire une chanson
Et la beauté t’épuise
Et te tue la bêtise