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31 mai – Marie-Lise

Je suis le genre de fille qui saisit les occasions, les bonnes occasions. Je ne tourne pas autour du pot, je n’hésite pas : je me lance dès que c’est possible. Je ne veux rien regretter, ce serait trop triste. On en voit trop qui se morfondent en se demandant si leur vie n’aurait pas été meilleure s’ils avaient osé. Alors j’ose. J’aborde les gens qui m’intéressent, j’envoie des CV aux entreprises qui me plaisent, je dis ce que je pense aux gens que j’aime, je fais les soldes. Pas question de rater une affaire. Je n’attends pas que l’on me propose quoi que ce soit, mais, si c’est le cas, je dis rarement non. Il faut savoir saisir sa chance. Ca te fait peur ? Il ne faut pas. Je t’en parle pour qu’on se connaissent mieux, et puis parce que j’ai envie de partager des choses avec toi. Tu ne veux pas passer à la maison ? Je me suis un peu emballée, j’ai 32 mousses de crème de marron au frigo. On pourrait faire moitié-moitié…

1 réflexion sur “31 mai – Marie-Lise”

  1. Le dessert mousse / marron me laisse perplexe. J’adore le goût du marron. Le souvenir de la crème de marron me laisse une impression pâteuse dans la bouche : une sorte de boule que je peux tourner avec la langue, mélanger avec la salive et en exprimer tout le parfum. La mousse au contraire c’est de l’air. Pourquoi manger de l’air ?

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