154 – Respirer
L’odeur, on s’habitue. Très vite, on ne sent plus. Il y a un fonds de camphre, comme un relent de mauvaise digestion, et un soupçon de vieille transpiration. Rien d’agréable. C’est l’odeur de la couardise, de la fuite en silence, de l’absence d’honneur. Pas vraiment une odeur de pourriture, ou peut-être un début de gangrène. […]
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