Dans son conte La Valse, Alphonse Allais livre un beau zeugme :
« Tout à coup je fus tiré de ma torpeur par une petite main finement gantée qui s’avançait vers moi, et une voix fraîche qui disait:
—Comment, te voilà, grande gouape!
Je levai les yeux. »
L’occasion d’en citer un faux, du même auteur, d’un autre conte humoristique, Amours à l’escale, qu’on aime bien :
« Sa taille se composait de six pieds anglais et de deux pouces de même nationalité, ce qui équivaut, dans notre cher système métrique, à deux mètres et quelques centimètres. »