Obiwi ouvre officiellement ses portes à 18h, mais j’ai pu passer une partie de l’après midi dessus.
Il s’agit donc d’un magazine participatif en ligne.
Obiwi frappe d’abord par sa simplicité.
Le principe de départ : plus je participe plus je pourrai
participer. Comment ? Chacune de mes actions, une fois que je me suis
enregistré, me donne des points. Au début, je ne peux
proposer que des sujets, ou des brèves. Mais si mes brèves
sont publiées, ou mes sujets acceptés, je gagne 30 ou
100 points. Arrivé à 500 points, je commence à
pouvoir publier directement, sans être relu. A 1000 points,
c’est encore mieux je peux valider les contenus des autres, mettre à
jour les pages d’accueils… Et si je m’engage à une
publication régulière, je pourrais bien gagner quelques
centaines d’Euros par mois avec ce petit job. A 1500 points, il se
peut même que je devienne animateur sur la thématique
que j’ai choisi.
Parce qu’on a des points thématique
par thématique : les points gagnés en Sport ne
permettent pas de publier en Famille, par exemple.
Cette animation pensée de la
communauté pourrait bien faire la différence. Les
nombre de points est une condition nécessaire pour progresser,
et les meilleurs contributeurs peuvent espérer une
reconnaissance proche de la professionalisation.
Pour le reste, je suis sous le charme
de la limpidité de l’ergonomie : j’ai tout compris tout de
suite, ce qui est plutôt bon signe. J’ai pu proposer une
première brève en quelques minutes, j’ai voté
pour des articles, ajouté des tags ici ou là. J’ai
gagné, donc, mes premiers points. Un jour j’en aurais assez
pour bénéficier de prêts de produits,
d’invitations à des événements, d’une
formation…
Motivant, et le principe global semble
un gage de qualité éditoriale. Même si on peut
regretter le niveau d’orthographe des articles de la rubrique culture
que j’ai lu jusqu’au bout. Pour un bidule gérer géré par une équipe
de professionnel, ça fait moyen. Mais bon, faut toujours que
je me plaigne. Pour Obiwi, je dis : oh, oui !
[MAJ : Ma première brève a été validée et publiée. J’ai reçu un gentil message pour me prévenir.]