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Twitter : expériences en 140 caractères

Twitter n’est pas tout nouveau. Mais il prend de l’ampleur. C’est un service à mi-chemin entre le clavardage et le réseau social. Un bidule où l’on écrit à ses amis et dont, sans doute, des utilisations restent à inventer. Pour faire simple : on écrit, comme dans une messagerie instantannée, à tous ceux qui ont déclaré que vous étiez leur ami, et l’on lit tout ce qu’écrivent ceux qu’on a défini ses amis. Pour qu’une conversation naisse, mieux vaut que les amis de mes amis soient mes amis. Et c’est cela qui fait la dimension sociale de la chose.
Reste que les messages ne peuvent excéder 140 caractères. Un nombre bien pratique pour suivre tout ça par SMS, non ? Personnellement, j’ai plutôt de la sympathie pour ce genre de contrainte.
Résultat, on dit ce que l’on fait. Et tous nos amis sont au courant.

Par exemple, je vais dire que j’ai publié ce message à mes quinze premiers amis. Et, peut-être qu’ils viendront laisser des commentaires ici.

Oui, je sais, moi aussi je trouve cela futile. Mais bon. Pas plus qu’une belle machine à café au bureau. Sauf qu’au bureau, à moins d’être le patron, et encore, ce n’est pas vous qui choisissez qui est près de la machine à café.

Bon, si vous êtes un ami à moi, vous pouvez me retrouver là, sur mon profil Twitter.

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